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Enseignement, Recherche, Libertés! continue aussi !

30 novembre 2022





Pour cet article, un titre en clin d’œil au spot TV gouvernemental qui a lancé la nouvelle campagne automnale de rappel  « vaccinal » contre le covid, ce 3 octobre 2022. [1]. Dans « Le ring », le gouvernement nous explique comment continuer à s’en prendre plein la figure ! Jusqu’à quand ?

Enseignement, Recherche,Libertés! poursuit son travail de mise en lumière de La Vérité.


1) Tour d’horizon de la politique sanitaire en France depuis un an


Quelques chiffres et dates :


- Le 12 octobre 2022, Mme Janine Small, représentante du laboratoire Pfizer devant le Parlement européen, déclare que Pfizer n’a pas testé l’efficacité de ses vaccins sur la transmission du virus avant leur mise sur le marché.

Des chercheurs indépendants avaient dénoncé très tôt cette réalité pour critiquer les mesures discriminatoires et de rétorsion sociale prises par l’actuel président de la République et son gouvernement, de concert avec le « conseil scientifique » et le cabinet américain Mc Kinsey pour promouvoir la « vaccination » de type ARNm de masse, y compris celle des plus jeunes, en bonne santé.


Voici une preuve de plus que ces campagnes de vaccination étaient et sont toujours fondées sur le mensonge.


Nous continuerons à demander des comptes aux responsables et à leur demander :

« Alors Pourquoi ? ». Pourquoi avoir forcé la population générale à se faire « vacciner » ?


Dans le rapport d’étude que les chercheurs indépendants Emmanuelle DARLES et Vincent PAVAN remettent à l’Office Parlementaire d’Evaluation des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST) en avril 2022, ils concluent ainsi :


« Il apparaît de façon manifeste que la pharmacovigilance française n’a jamais été adaptée pour étudier sérieusement la question des effets indésirables concernant les vaccins ». Ils expliquent pourquoi et proposent des pistes de réflexions pour un travail partagé plus qualitatif.

À partir des données européennes (EudraVigilance) et américaines (VAERS), les chercheurs établissent des résultats de l’impact de la vaccination avec les injections de type ARNm Pfizer BioNTech et Moderna.[2]

Les résultats présentés, ci-après, ne tiennent pas compte du phénomène de sous-déclaration. À ce sujet de récents travaux de recherche[3] estiment que le nombre de décès rapportés dans le VAERS est 20 fois en dessous de la réalité observée.


En 2021-2022, on décompte :



- 3588 déclarations de troubles du cycle menstruel après injection ARNm contre 190 durant la période 1990-2020 tous vaccins confondus, soit une variation de +1788% .

Dans son enquête de pharmacovigilance du 28 octobre 2022, l’Agence Nationale de Sécurité des Médicaments (ANSM) reconnaît officiellement les troubles menstruels persistants au titre des effets secondaires indésirables des « vaccins » à ARNM contre le Covid.

Combien de temps les institutions nationales et européennes mettront à reconnaître le reste ?



- 365 000 déclarations d’effets indésirables graves concernant les vaccins Pfizer et Moderna dont plus de la moitié sont déclarés par un personnel soignant.



- 11 662 déclarations susceptibles d’avoir entraîné un décès suite au « vaccin » Pfizer, 5688 suite au « vaccin » Moderna.



- Taux de létalité apparente du covid 19 pour les enfants et adolescents (0-19 ans) : moins de 0,002%. ((nombre de décès/nombre de cas symptomatiques) x 100)) 



- Taux de létalité des vaccins ARNm en cas d’effet indésirable pour la même tranche d’âges, très supérieur à celui de la maladie. La vaccination massive dans cette classe d’âge est donc de très loin plus néfaste que le Covid19 en l’absence de comorbidités ou de facteurs très aggravants.



Pharmacovigilance américaine :


- Le nombre de déclarations de myocardites est 35 fois plus important en 2021-2022 que durant toute la période 1990-2020 chez les 12-17 ans et 5 fois plus pour les 18-39 ans.

Ces déclarations sont remontées majoritairement entre 4 et 7 jours suivant la vaccination, ce qui laisse présumer une forte imputabilité liée à une injection ARNm.


- Le nombre de déclarations de péricardites en augmentation de 90% chez les 12-17 ans et d’environ 70% pour les 18-39 ans en 2021-2022 comparé à l’ensemble des années 1990-2020 tous vaccins confondus.


- Augmentation du nombre de déclarations des chocs anaphylactiques, notamment pour les personnes âgées entre 18 et 65 ans, dont environ 30% sont déclarées le même jour que l’injection ARNm.


- + 732% de déclarations d’AVC dans le VAERS en 2021-2022 par rapport à l’ensemble de la période 1990-2020. Les adolescents sont touchés de façon inquiétante.


- Au 22 octobre 2022, 150 404 700 « injections covid » ont été réalisées en France.


- Depuis le 20 décembre 2021, 538 400 doses ont été injectées aux enfants de 5 à 11 ans.


- Depuis le 15 juillet 2021, 10, 4 millions de doses ont été injectées aux 12-18 ans.



2) Et la liberté d’expression en France, on en parle ?


Fin août 2021, 2800 chercheurs, universitaires, soignants, juristes, artistes et enseignants dénonçaient la censure opérée en France à l’encontre de tout positionnement et discours osant analyser, c’est à dire « critiquer», le discours officiel sur le Covid et la stratégie de politique sanitaire mise en œuvre en France.[4]


Peut-on parler de liberté d’expression lorsque certaines catégories de professionnels (médecins, enseignants, chercheurs, juristes…) sont l’objet d’une chasse aux sorcières plus ou moins décomplexée ?


Lorsque présidences d’universités, députés, conseils de l’ordre (un tout particulièrement), rectorats d’académies intimident, menacent, déposent des plaintes ou sanctionnent certains professionnels sur le plan administratif ou disciplinaire, peut-on parler de liberté d’expression ou de maltraitance institutionnelle ?


Rappelons par exemple, que le Conseil Constitutionnel consacre un Principe Fondamental Reconnu par les Lois de la République (à valeur constitutionnelle donc), relatif aux enseignants-chercheurs de l’enseignement supérieur [5] :


« Les fonctions d’enseignement et de recherche non seulement permettent mais demandent, dans l’intérêt même du service, que la libre expression et l’indépendance des personnels soient garanties par les dispositions qui leur sont applicables ».

Il n’est alors d’enseignant-chercheur que libre et indépendant.


À l’ensemble des enseignants tous niveaux confondus, il incombe une mission de « préparation des élèves à l’exercice d’une citoyenneté pleine et entière », et de transmission des valeurs de la République, « en se référant à des principes éthiques et de responsabilité qui fondent leur exemplarité et leur autorité ». [6]


À l’heure où des professeurs d’universités et de médecine sont l’objet de convocations diverses et de procédures disciplinaires devant le conseil de l’ordre des médecins pour les positions qu’ils ont exprimé à l’encontre de la doxa du Covid, la nature de notre République interroge légitimement : démocratie ou dérive dictatoriale ?


Un an après que des enseignants, tous niveaux confondus, et des familles de parents d’élèves ont adressé des sommations interpellatives à plusieurs recteurs d’académies, par voie d’huissier, ces derniers n’ont jamais daigné répondre, dont acte!


Si nous observons effectivement que, depuis plus de deux ans, le système se protège, ne vous méprenez pas chers collègues fonctionnaires et agents de l’Etat, ça n’est pas vous qu’il protège.


Il nous appartient individuellement et collectivement de prendre nos responsabilités.


Que dire encore à propos des milliers de soignants français toujours suspendus, et donc sans salaire, en raison de leur refus de l’obligation « vaccinale » contre le Covid19, alors que la loi n° 2022-1089 du 30 juillet 2022 prévoit une levée possible de cette obligation par décret ?


Le Canada, l’Italie et maintenant l’Allemagne mettent fin à l’obligation « vaccinale » des soignants, et en France, c’est pour quand ?

Jeudi 24 novembre, l'Assemblée nationale examinait une proposition de loi à l'initiative du groupe LFI sur la réintégration des soignants non-vaccinés. Les débats parlementaires se sont déroulés dans une grande tension sur ce sujet.


***



[1]
https://solidarites-sante.gouv.fr/grands-dossiers/vaccin-covid-19/article/la-campagne-de-vaccination-automnale-contre-le-covid-19.


[2]https://cdn.website-editor.net/s/7757f9d706a74f0c9409f55b3d991840/files/uploaded/Rapport_OPESCT%2520%25281%2529.pdf?Expires=1670620280&Signature=Vo-MfsN8ZdB-CRxf~41VNHLi--AYRvcd-jp8KsR2HJtYwXMCCUmzhhHnSix4EcxAi0k6w4upH0JFiRUmkMO4eU~FoKZhE-OchqkCy3vX8UB0xhS4ClVDq27vxBvvLpbRJE79ANXnZUezLyFhqKJeHM2rxGyjnRF2dtfXpenZfbIvm05BCZUcAwk0eDt6Isx13gANzs0zAQSSxZSDs7Pd1eiDXtkCae78ayErqcJ12toqBQc6QzuXoAn27C0J0hoEnn5794OzVo94~NmiJEghv8aW85rOdIk7dZCgbqJb7fW1wMyPSBNHltExMuZFGh2N8yxuXwN33pMUF~227LXG7w__&Key-Pair-Id=K2NXBXLF010TJW


[3] H. PANTAZATOS P.; Seligmann. « COVID vaccination and age-strati ed all-cause mortality risk ». In : (2021).

URL : https://www.researchgate.net/publication/355581860_COVID_vaccination_and_age- stratified_all-cause_mortality_risk

 

[4] https://qg.media/2021/08/30/tribune-a-t-on-encore-le-droit-dexercer-son-esprit-critique-en-france/

 

[5] Cons. const., 28 juill. 1993, n° 93-3225 DC et Cons. const., 6 août 2010, n° 2010-20/21 QPC.

[6] https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000027721614/


 













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